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France / Paris

Balade parisienne.

Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
C’est étrange cet amour inconditionnel que je te porte, t’enveloppe et t’enserre. Les années filent et rien ne bouge, tout demeure statique, comme une évidence. J’ai beau retourner la boule à neige, tout finit toujours par retomber à sa place. J’ai eu beau m’éloigner, traverser un océan, mais rien n’y fait. Rien n’y a fait. Tu étais toujours là, ancré, harnaché. Je te l’ai dit à maintes fois, surtout cet été là. Paris, je suis partie mais je ne t’ai pas tout dit.

Balade parisienne !


Balade parisienne Balade parisienne

Aujourd’hui. Ô oui, aujourd’hui Paris, je suis revenue et cette fois-ci, j’ai eu envie de t’y revenir toute entière. T’y retrouver comme hier, comme avant, comme à la première. T’y revenir le temps d’une balade parisienne, comme on sait si bien y faire.

  • Paris Ve


Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.

Je te voulais à moi seule, te voulais comme pendant toutes ces années où je t’ai espéré, (tant) imaginé. Je voulais voir jaillir cet amas de souvenirs à chacun de tes recoins, mais je voulais aussi te (re)trouver (in)changée, (in)connue. Comme ce matin là, au coeur du Vème, à la sortie de la Gare de Lyon. Je te l’ai dis Paris, te l’ai martelé tant de fois. Qu’importe ta grisaille ou ta pluie, rien n’y fera, je battrai ton pavé jusqu’à en avoir les pieds trempés. Ce matin là, j’ai eu envie de faire taire pour de bon ces promesses non tenues, ces rdvs manqués à répétition. Ô oui Paris, ce matin là, pour cette balade parisienne j’ai traversé sans me retourner, un sourire jusque là, le Pont d’Austerlitz pour déambuler (enfin) derrière les lourdes grilles du Jardin des Plantes. Arpenter, avancer, traverser ces petits sentiers ci-et-là tout en imaginant les lieux sous l’orée du printemps.

Balade parisienne , Grande Mosquée de Paris

Balade parisienne , Grande Mosquée de Paris

Ô oui Paris, c’est promis je reviendrai. Je reviendrai quand le soleil s’installera de plus belle et éblouira les jardins de la Grande Mosquée de Paris. Oser franchir le pas de cette immense porte en bois sculpté, en repensant à toutes ces fois ou C. m’en avait parlé, m’avait conté ces jolies après-midi passées à prendre un thé dans ce lieu si à part, invitant au dépaysement.

Balade parisienne , ParisBalade parisienne

Balade parisienne

Ô oui Paris, pour toi,pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
J’ai bravé ta grisaille pour filer entre tes gouttes, mettre de côté ces recoins inconnus pour renouer avec ces souvenirs si lointains sur le papier mais si présents en réalité. Je me suis laissée porter par ces reconnaissances visuelles familières, la bouillonnante rue Mouffetard pourtant si silencieuse ce jour-ci, jusqu’à l’imposant Panthéon. Tourner, tourner, tourner au creux de tes rues et ruelles Paris, et s’amuser à te mettre en pièces, à t’observer continuellement d’une manière nouvelle. Observer de loin la façade longiligne de la BSG et se souvenir avec plaisir de ces heures incalculables passées dans cette grande salle somptueuse, à potasser, rechercher, réviser. C’était hier, mais la nostalgie elle, est présent(e). Pousser la porte de cette petite librairie, entendre le parquet craquer sous mes pieds et laisser mes doigts fureter au gré des couvertures de livres étalés le long de ces présentoirs surchargés.

  • Paris VIe


Balade parisienne , Jardin du Luxembourg

Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
Faire machine arrière et pousser à son paroxysme la remémoration. Je m’y revois, je nous y revois Paris. Je me rends finalement compte à quel point je me suis éparpillée avec toi, au creux de toi, ci-et-là. Je nous revois, sortir de cours à deux pas de là, rue Assas, filer faire la queue chez notre cher Bagel&Brownie pour un irremplaçable et indétrônable bagel San Diego & un brownie chocolat, et s’alanguir sur ces chaises vertes, autour de la fontaine face au Sénat ou dans un recoin ça-et-là du Jardin du Luxembourg. Je revois tous ces moments, ces entractes universitaires s’enchâsser aux rencontres photographiques, à ces visages, ces premiers déclenchements.

  • Île de la Cité


Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne  je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
Je revois ces instants en gagnant la place Saint Michel et traversant le pont éponyme. Ô oui Paris, je m’en souviens comme si c’était hier. Je regarde aujourd’hui les berges bien vides et je nous revois à nouveau. Paris, Paris, Paris…nous étions quelques unes, tu nous faisais (tant) rêver depuis la Drôme, le Nord ou encore les Vosges. Je revois nos visages enjoués après ces années à échanger par claviers interposés, à ton sujet notamment Paris. Ces sourires la première fois. Ô oui Paris, tu nous faisais rêver, et vois tu, sept ans après, tu continues de faire battre mon coeur à même mesure, comme avant, comme aujourd’hui, et j’en suis convaincue, comme demain.

Balade parisienne , Île de la cité

Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
Je revois ma stupeur de te découvrir si vide de tes parisiens, au dernier été ou l’on s’est croisé. Sentir ce petit bonheur que de t’avoir pour moi seule à mes heures de repos, presque vidée. Apprécier de t’arpenter de quartier en quartier mais aussi d’île en île. La jolie surprise du Marché aux Fleurs de l’île de la Cité. Combien de fois suis-je passée non loin, traversant uniquement d’un bout à l’autre pour gagner la Place du Châtelet ou celle de Saint-Michel et inversement. Je te savais surprenante et rayonnante, mais il m’aura fallu attendre avant de l’approuver. Deux ans ont filé depuis la derrière fois, et trois fois rien n’a changé. J’y retrouve ce même sentiment d’ailleurs, d’un air de campagne en pleine ville, de cette effusion d’odeurs et de couleurs.

Balade parisienne, Île de la cité Balade parisienne, Île de la cité

Preuve en est que tu n’as pas bougé (ou presque) Paris, je retrouve ce même miroir à volets, et me souviens de ce réflective portrait immortalisé, deux ans auparavant. L’instant prête à sourire ! 

(2014 à gauche // 2016 à droite)

Balade parisienne, Île de la cité

Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
Je savoure ce matin là, la basse saison, tout comme j’ai savouré des mois/années auparavant te rencontrer à l’orée de l’hiver sous cette fine couche de neige, si proche de nous, si proche de ton coeur battant et bien loin des âmes vagabondes touristiques. Contourner Notre-Dame pour t(l)’apercevoir sous un autre regard, et oublier que cette fois-ci sera aussi un rdv manqué pour gagner le coeur de ce mastodonte tant étudié sur les bancs de la fac en Histoire de l’art. Paris, tu te joues de moi, j’en suis convaincue ! Ô oui Paris, et vois tu, ce petit jeu m’amuse, puisqu’il m’invitera plus qu’il ne me forcera, à te revenir de plus belle, encore une fois, une prochaine fois, une nouvelle fois, pour une énième balade parisienne juste entre toi & moi.

Balade parisienne, Île de la cité

Paris tu es de ces instants suspendus, de ces moments que j’aime à capturer à la volée, de si bon matin, au coin d’une terrasse de café. Comme avec cet homme, au premier plan, qui sirotera son café en griffonnant quelques taches et lignes sur le coin d’un carnet, le sourire esquissé au coin de ses lèvres et de sa légère barbe grisonnante, amusé sous mon oeil curieux à vouloir l’immortaliser devant mon objectif.

Balade parisienne, Île de la cité

  • Paris IV


Balade parisienne

Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
La journée s’avance à mesure que ton ciel s’ouvre et se dégage. Les kilomètres s’égrènent au fil des arrondissements et la fatigue se taire au loin, au fin fond de mes souliers. J’ai l’utopie de penser te connaître à chaque coin de rue, et tu as la sagesse de poursuivre à me surprendre continuellement. Mes souvenirs lillois s’entremêlent aux parisiens et je ne résiste pas longtemps avant de m’engouffrer Aux Merveilleux. Une seule bouchée et le passé s’immisce au présent subitement. Combien de cramiques, de merveilleux ai-je donc mangé à la sortie du lycée pendant ces trois années au coeur du Vieux-Lille. Combien de fois suis-je passée devant ces vitrines de la Rue de la Monnaie. Le bonheur est ainsi comble de trouver cette pépite lilloise au coeur de toi Paris.

Balade parisienne Balade parisienne

Balade parisienne, Beaubourg

  • Passage de l’Ancre


Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
Il y a tant à découvrir de toi ma belle Paris. Ô oui, tant. Tes défauts font parfois le bonheur de certains, tes qualités en mettent en horreur d’autres. Tes prévisibles comblent quand tes insoupçonnés déchantent. Ô oui Paris, tu es cette palette colorée, ce kaléidoscope pour tout un chacun, où il m’apparait bien impensable de ne pas succomber à ton charme sous un certain regard, même petit. Je me souviens de mes grands yeux, la première fois que je suis rentrée de la fac à pieds avec Jo’. Traverser (presque) tout Paris à pieds du Jardin du Luxembourg jusqu’à Barbès. Je revois son air malicieux en m’entrainant par la main et à grandes enjambées, m’engouffrer au creux de ces passages, de ce passage, le Passage de l’Ancre. Ce passage sera à jamais son souvenir, il en aura à jamais son visage ancré. Ce visage si caché que l’on ne te devine pas Paris. Cette proximité dissimulée derrière ta mythique grandeur intouchable.

Balade parisienne , Passage de l'Ancre Balade parisienne , Passage de l'Ancre

  • Paris VII


Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
Aujourd’hui. Ô oui, aujourd’hui Paris je suis revenue; et cette fois-là, j’ai eu envie de t’y revenir toute entière. T’y retrouver comme hier, comme avant, comme à la première. Je voulais te retrouver au gré de ces souvenirs, au plus près. Je voulais te gagner le long de la ligne de métro 6 jusqu’au Trocadéro pour te saluer comme il fallait. Ô oui Paris, je voulais mettre en pièces ta Tour Eiffel à l’image de ton Panthéon. Je voulais te regarder amusée, attendrie, les yeux embués. Ô oui Paris, c’est étrange cet amour inconditionnel que je te porte, t’enveloppe et t’enserre. Je te voudrais toute entière, comme avant, comme hier. Te voudrais au présent et non plus au passé, relégué. Ô Oui Paris… mais je le sais, tu m’as attendu pendant deux ans, alors je saurais t’attendre à mon tour, si c’est le prix à payer pour te retrouver (enfin).

Balade parisienne Balade parisienne , Tour Eiffel

  • Paris IX


Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
Si mon coeur t’es tout acquis, il est à jamais (je crois) harnaché à ce quartier, Paris. À la croisée de ces arrondissements, IXe et XVIIIe. Château Rouge & Barbès. De cet appartement et de Jo’, de tous ces souvenirs qui s’y bousculent plus qu’ailleurs et qui renforcent ce sentiment d’être à la “maison” plus qu’à nulle autre endroit dans la capitale. Ce coeur battant aussi adoré que détesté. Avant je t’aurais évité, peut-être même fuis. Aujourd’hui, je cours pour t’y retrouver, t’y ressentir et t’y photographier. Ô oui, Liberté chérie, au coeur de ma douce Paris.

Balade parisienne Balade parisienne Balade parisienne Balade parisienne Balade parisienne, Barbès

Ô oui Paris, pour toi, pour une balade parisienne je battrai le pavé jusqu’à m’en faire saigner les pieds, en trouer mes souliers.
Ne l’oublie jamais. ♥

30 Comments

  • Ullern
    6 juin 2017 at 1 h 51 min

    Je rattrape mon retard car je viens tout juste de tomber sur ton site, et cet article m’a particulièrement bluffé ! :D
    J’adore ta façon d’écrire et de t’exprimer.

    Tes photos sont tout aussi magique dans cet article, et je pense que tu as déjà eu beaucoup de fois la question mais je pense que tu as fait ces photos avec ton argentique, et pourrais tu juste me donner le nom de la pellicule ? :)

    Continue comme ça en tout cas, je vais plus pouvoir me passer de ton blog !

    Reply
    • Vagabondanse
      7 juin 2017 at 13 h 45 min

      Merci beaucoup Marine, et bienvenue par ici alors !
      Comme tu as pu le deviner dans cet article ne particulier, Paris tient une place vraiment à part dams mon coeur et se serait mentir que de nier que cet article m’est cher :)

      Pour répondre à ta question, toutes les photos de cet article ont été prises… au numérique et non à l’argentique ! :)

      Reply
  • yoann
    29 décembre 2016 at 14 h 27 min

    Bravo pour ton site internet. Ta plume et tes photos m’ont fait recouvrir Paris sous un nouveau regards, bien qu’étants de Paris moi meme. Merci beaucoup pour cela. de meme pour le post sur la Jordanie, super (comme tous les autres aussi)

    merci

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    • Vagabondanse
      3 janvier 2017 at 11 h 53 min

      Merci beaucoup à toi Yoann pour ce joli retour :) Cela fait chaud au coeur !! Paris me manque cruellement et j’espère pouvoir y revenir l’arpenter plus souvent en 2017 ! Pour la Jordanie…mon petit doigt me dis qu’un nouvel article arrive tout bientôt..! :)

      Reply
  • Angie
    17 mars 2016 at 9 h 29 min

    Prépare toi à l’avalanche de commentaires, je rattrape mon retard ma belle ! Ton écriture magique m’avait manqué ! Et les photos ici c’est quand même mieux que sur Instagram !

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    • Vagabondanse
      24 mars 2016 at 18 h 49 min

      Oh comme tu es chou ! <3 Un vrai petit bonheur d'avoir eu un peu de lecture de si bon matin :) Merciii!

      Reply
  • Une Occidentale en Chine
    13 mars 2016 at 15 h 38 min

    Malgré le fait que je n’ai pas pu suivre la cadence et que j’ai dû revenir dans mon Sud natal, je porte éternellement Paris dans mon coeur. Merci à toi pour ce magnifique article qui me fait rappeler les raisons pour lesquelles Paris sera toujours Paris <3

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 19 h 01 min

      Oh merci ! Tu le dis si bien, Paris sera toujours Paris :) Il y a ce petit inexplicable. On aime à la fuir, s’en défaire, s’en détacher, mais sans pour autant l’oublier, l’expulser de notre coeur.

      Reply
  • May
    12 mars 2016 at 22 h 05 min

    Ça fait deux fois que je relis ton article et que je souris. Tu me (re)donnes envie d’aller, depuis que je me le promets, découvrir la grande mosquée : demain s’il fait beau.

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 19 h 00 min

      Oh tu es chou, merciiii <3 Me voilà on ne peut plus ravie May d'avoir pu te donner envie avec ce beau temps d'aller te perdre un instant à la Grande Mosquée :) Bon, dommage pour le reflex cette fois ci, mais qui sait, ca pourrais être chouette d'y retourner ensemble au beaux jours, non ?! :)

      Reply
  • Camille
    12 mars 2016 at 11 h 53 min

    J’aime beaucoup. J’aime ta manière de parler Paris, moi qui, petit à petit, m’en lasse. Je me sens étouffée par cette ville immense, par ces gens par milliers qui toute la journée battent le pavé, sans se voir, sans me voir.
    Grâce à tes mots, à tes photos, j’ai revu Paris comme au premier jour.
    C’était agréable.
    Merci.

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 58 min

      Tu ne peux pas me faire plus plaisir Camille, vraiment. Je comprends que Paris puisse lasser, exaspérer, étouffer. Et au fond, c’est peut être à eux (vous), que j’ai le plus envie au fond de faire revivre Paris, insuffler un second souffle, redonner une envie nouvelle de retrouver Paris autrement :)

      Reply
  • Lolli
    12 mars 2016 at 9 h 00 min

    Quel magnifique éloge sur Paris ! <3

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 56 min

      Merci ! :)

      Reply
  • Kim
    11 mars 2016 at 19 h 40 min

    Wouah ! Avec ce lyrisme dont toi seule à le secret, tes touches personnelles adorables et si uniques et sincères, on voyage au fil des phrases, des mots qui s’étalent sur l’écran. Je me suis sentie moi dans ces rues sinueuses, dans ces lieux emblématiques.. Tu arrives à nous faire si bien voyager, c’est fou ce talent. Bravo !

    Kim

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 55 min

      Tu ne cesses de me gâter avec tes compliments Kim ! Je suis plus que sincèrement touchée. Tu n’as pas idée comme cela me douche, vraiment. Je suis toujours hésitante au moment de publier ce genre d’article, parce que c’est ceux qui me tiennent le plus à coeur, que j’aime par dessus tout le plus écrire. Pendant des années à l’école on m’a reprocher cette écriture et je conçois on ne peut plus qu’elle puisse ne pas convenir à tout le monde et en laisser de marbre. C’est un peu ma patte à moi :) Alors, je suis plus que ravie et touchée de voir que mon article, cet ode à ma douce Paris vous touche aussi, traverse l’écran virtuel.
      Encore (et encore) merci Kim pour tes jolis mots.

      Reply
  • J'ai écrit
    11 mars 2016 at 13 h 40 min

    J’aime déjà beaucoup Paris mais alors avec tes mots, j’en retombe éperdument amoureuse comme au premier jour, après toutes ces parties de cache à cache et en espérant qu’il y en ait encore beaucoup. Paris qu’elle soit grise, ou recouverte d’un ciel bleu, je l’aime pour tous ces sentiments qu’elle me fait ressentir, pour toutes ces fois où je marche la tête levée, et toutes ces façades que je photographie et tous ces coins que j’essayent de chercher, retrouver pour finalement qu’elle me surprenne par quelque chose que je n’attendais mais qui est souvent bien mieux que ce que je cherchais. J’aime beaucoup le commentaire de Marion qui dit qu’avec tes mots et tes photos, c’est comme si on pouvait enlacer Paris tout entier, c’est exactement ça <3

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 49 min

      Je partage tant ton amour pour Paris Fabienne <3 Tes si jolis mots, c'est exactement cela. Le coeur était serré en écrivant cet article, comme toujours lorsque je parle de Paris, mais là, il y avait une saveur particulière, ces retrouvailles étaient bien singulières :) Merci merci merci pour tes commentaires, à chaque fois, c'est un joli rayon de soleil !

      Reply
  • Liilice
    11 mars 2016 at 11 h 04 min

    Quelle belle déclaration… J’aime lire ces escapades parisiennes, tes photos sont magiques… Tu me ferais presque aimer Paris :-)

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 45 min

      Oh merciiii Alice ! Alors là, c’est un bien joli compliment :) J’espère réussir à te faire fondre pour ma douce Paris au gré des prochains articles alors !

      Reply
  • juliette
    11 mars 2016 at 10 h 15 min

    Que c’est beau ! <3

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 44 min

      & la ville est encore plus belle (et chouette!) lors d’une balade à tes côtés :) <3

      Reply
  • Landry - douly07
    11 mars 2016 at 10 h 07 min

    Très beau texte, toujours aussi poétique. On ne se rend pas compte de la chance que l’on a quand on a tout cela à portée de main. Merci à toi pour ce partage !

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 43 min

      Je te rejoins tellement sur ce point !! Et puis, c’est souvent ce que l’on dit, c’est en perdant les choses que l’on se rend compte de leur valeur. :) On a souvent tendance à regarder l’herbe qui nous semble plus verte chez le voisin, sans se rendre compte que c’est exactement la même qui nous entoure, voire même, qu’elle peut être plus belle !

      Reply
  • Aurélie
    11 mars 2016 at 9 h 34 min

    Wow ! C’est un texte magnifique. J’aurais du mal à en dire autant de Paris pour ma part… Sauf les quelques fois où je suis revenue pour quelques jours après une longue absence. Mais au quotidien… C’est plus difficile.
    En tout cas, ton texte est très émouvant, très poétique. C,est une très belle ode à Paris :)

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 41 min

      Merci beaucoup pour ces jolis mots Aurélie :) Pour avoir cotoyé Paris tant épisodiquement quand j’habitais à Lille, qu’au quotidien en m’y installant, je comprends ce sentiment dont tu parles, même si je n’ai pour l’heure pas (encore) réussi à me lasser de la capitale, quand je m’en éloignais pour un temps, il y avait cette petite boule au ventre d’impatience et de joie au retour en la retrouvant :) Ce fut encore plus flagrant quand je me suis expatriée à Montréal. Sauf que là aussi, c’était le bonheur de rentrer chez soi, en France.

      Reply
  • Oanez
    11 mars 2016 at 9 h 33 min

    Très bel article & magnifiques photos, j’adore les couleurs !

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 37 min

      Merci :) Bien que je n’ai pas été très gâtée cette fois ci avec la météo, je suis contente d’avoir malgré tout réussi à capturer Paris sous son ciel gris et ses éclaircies.

      Reply
  • marionromain
    11 mars 2016 at 8 h 58 min

    Cet article me plait énormément, j’ai l’impression de pouvoir enlacer Paris tout entier à travers lui. Merci pour cette richesse, aussi bien en photos qu’en récit.

    Reply
    • Vagabondanse
      14 mars 2016 at 18 h 36 min

      C’est exactement ce que j’ai voulu faire transparaître ! Vous donnez l’envie d’étreindre Paris tout entier, comme si vous y étiez, comme si c’était la première fois, même la première fois d’une nouvelle fois. :) Mission accomplie, merci beaucoup !

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